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  • Post last modified:5 juillet 2022
  • Forum Rpg basé sur Divergente (livres/film).
  • Rôle: Tyler Harding, un audacieux prédéfini.
  • Faction de naissance : Audacieux.
  • Faction choisie : Audacieux.
  • Age : 26 ans 
  • Patrouilleur en ville
  • Qualités: Combatif, fort, prévenant.
  • Défauts: Bourru, fier, casanier.
  • Avatar : Channing Tatum.

Traits particuliers: S’il y a des airs d’ours, il a très bon fond, voire trop, et peut se laisser manipuler par les autres.
A savoir: Il a récemment repris contact avec sa meilleure amie d’enfance, Rebecca Cross, suite à son accident qui l’a conduite à reprendre contact avec ses proches.
Il est également assez proche de Charli Lukas, qui lui donne depuis quelques temps des cours d’informatique.

Enfance

Fils de Mason Harding, un pur audacieux et de Aileen Tompson, une jeune fille provenant de la faction des altruistes, ce qui n’est pas des plus fréquents, Tyler eut une enfance plutôt classique. Ses quelques soucis de bagarre mis à part. 

Ses parents s’étaient rencontrés lors de leur initiation a tout deux, Tyler naquit l’année suivante. Ce qui fut sans doute un peu rapidement survenu dans leurs jeunes vies mais Mason assuma entièrement l’arrivée de l’enfant en les prenant lui et sa mère à son entière charge le temps nécessaire. C’est d’ailleurs l’un des traits de caractère de son père que Ty admirait le plus: son sens des responsabilités. 

Aileen bien qu’ayant passé l’initiation des audacieux avec mention suffisant gardait malgré tout une douceur naturelle provenant de ses tendres années ainsi que sa tendance à aider son prochain. Elle se dirigea vers une carrière d’aide médicale tandis que Mason devint entraîneur et conseiller sportif. 

Dix années plus tard, naquit un second fils, Aidan. Celui-ci a donc l’âge de passer la cérémonie du choix. Mais il y a fort à parier qu’il demeure avec sa famille. 

D’audacieux gamins à l’aventure (narration de Ty):

Je courrais parmi un groupe de gamins de mon âge, en route vers la sortie. Il faut dire que je n’étais jamais le dernier à m’embarquer dans une aventure ou un défi. Cela faisait des jours que nous préparions cela, en cachette de nos parents bien entendu, et rien ni personne ne pouvait nous en empêcher. 

Tout à l’est du quartier des audacieux se situait une tour en bien piètre état dont le sommet luisait mystérieusement. De la à penser qu’il s‘agissait d’un trésor ou de quelque chose de merveilleux et notre imagination d’enfant fit le reste. Il nous fallait en avoir le coeur net, chacun imaginant découvrir quelque chose de rarissime qui ferait l’admiration de toute la faction lorsque nous le ramènerions. Nous étions des gosses après tout.

L’expédition avait été organisée avec tout le soin dont nous étions capables. Nourriture, eau potable, sacs de couchage. Chacun ayant laissé un mot aux parents, s’arrangeant pour qu’il ne soit découvert qu’une fois parti. Tout prévu sauf… 

Sauf l’état de délabrement si avancé de l’immeuble que les étages supérieurs se trouvaient inaccessibles suite à ce qui semblait être un effondrement de la cage d’escalier.  Et lorsque nous le découvrîmes, personne ne voulu faire demi-tour pour autant. A l’heure qu’il était, les parents savaient que nous étions partis et revenir sur une défaite était tout bonnement inenvisageable.

Plongés dans la pénombre depuis les premiers étages, nous nous sommes donc conciliés à établir un plan de secours et dresser notre petit campement sur le dernier pallier valable. Et il fut décidé qu’un petit groupe irait en mission d’exploration, espérant dénicher un autre accès. Les autres attendant leur retour. 

La nuit tombait au dehors et le groupe ne revint pas, nous avons donc passé notre première nuit loin de nos lits, à monter la garde chacun notre tour comme les grands mais la nuit ne se passa pas sans mal. Non seulement l’absence du reste de l’équipe demeurait un mystère mais des bruits suspects nous firent envisager qu’il se tramait quelque chose dans cette vieille bâtisse. Des fantômes ! Avaient envisagé certains. Des sans-factions, Pensaient d’autres. Des bêtes affamées. Craignait enfin un dernier, plus poltron que les autres.

S’en vint alors notre première dispute au matin. Si j’étais d’avis comme une partie du groupe restant d’aller à la recherche de nos compagnons, les autres insistaient pour que nous tentions l’escalade des étages détruits. Et le groupe se sépara une fois de plus.

Des dix de départ, nous étions trois perdus sans nouvelles, trois à vouloir partir à leur recherche, trois à vouloir continuer coûte que coûte et un indécis. Faisans partie du groupe de sauvetage -nous prenions cela très au sérieux tout de même- je suis parti avec mes deux compagnons à leur recherche. 

En route, nous trouvions des objets appartenant à nos compagnons laissés à l’abandon. Le doute commença à s’immiscer lentement, nous étions sur nos gardes, prêts à en découdre s’il le fallait mais la peur au ventre. Mais nul trace de nos amis. Par contre, nous sommes parvenus à une autre cage d’escalier et sommes revenus bien vite l’annoncer aux autres. 

Mais une fois revenus au petit camp, personne. Personne tentant de gravir les parois vers les étages. Personne non plus, fort heureusement, de tombé ou de blessé quelque part. Ils avaient tout bonnement disparus.

Une seconde concertation s’en suivit.
Partir à leur recherche ou continuer ?

Ils avaient peut être juste fait demi tour et étaient rentrés, trouvant l’escalade trop périlleuse. Tandis que le premier groupe des disparus était peut être monté sans nous en avertir. Après tout, gloire à celui qui ramènerait le trésor. Que faire ?

Après de longues tergiversations, un vote de 2 contre 3 décida que nous poursuivions l’expédition par le chemin découvert. Et nous voila repartis.
Il fallut des heures à nos courtes jambes pour atteindre le sommet et quelle déception au final de ne rien trouver d’autre qu’une vieille parabole dépolie réfléchissant le soleil. Unique source de cette lumière si mystérieuse. Aucun trésor ni secret. Juste un vieil objet devenu inutile.

Nous sommes redescendus la mort dans l’âme. Tant de compagnons sacrifiés pour rien. Qu’allions-nous dire à nos parents ? Et a leur famille ? S’écria l’un des nôtre lorsqu’une voix y répondit. “Il serait bien temps d’y songer non !”.

Il est vrai que nous avons tous été punis après cela mais quelque part, nos parent étaient fiers de nous. Nous avions mené à bien une mission, bravé les dangers et l’inconnu et nous nous en étions sortis. Depuis le début ils nous suivaient. Sans doute que l’un d‘eux avait trouvé le mot plus rapidement que prévu. Les bruits inquiétants la nuit, les disparitions (ou plutôt enlèvement par les adultes), tout cela furent des épreuves destinées à tester notre ténacité, notre audace. 

Il m’est arrivé depuis, devenu adulte, de remonter au sommet de cette tour et d’y songer. D’ailleurs, je me demande, qu’est ce qui scintille en haut de ce gratte-ciel là-bas…

Caractère durant l’enfance

Pour le moins que l’on puisse dire, Tyler était un enfant très actif et plutôt téméraire, ce qui lui valut quelques séjours à l’hôpital mais heureusement sans réelle gravité. Quoi qu’il en fut, cela ne le fit que rarement reculer devant les buts qu’il s’était fixé, les seules exceptions étant lorsque cela pouvait conduire quelqu’un d’autre que lui à devoir en supporter des conséquences qu’il n’aurait pas souhaitées.

Un peu frêle lorsqu’il était tout gamin, il revenait parfois à la maison couvert de bleus, bosses et diverses égratignures. Ce n’était pas tant sa constitution que son entêtement qui provoquait ces bagarres de gosses mais quelques raclées de trop par de plus âgés que lui (des “grands” de 8 ou 9 ans)  motivèrent son père à l’entraîner peut être un peu plus que la normale pour son âge. 

Dès l’adolescence, il acquis alors un certain sens de la discipline et surtout des aptitudes bien utiles pour s’en sortir face à ses camarades. Fier sans être pour autant orgueilleux de sa force, il souhaitait aller toujours plus loin, toujours plus fort, dépasser ses limites et pouvait passer de longues heures dans le mini gymnase improvisé de son paternel. Il s’habitua ainsi quelque peu à la solitude durant cette époque, préférant alors alterner l’action et le calme. “Un juste milieu en toute chose, c’est la clé du succès” lui disait souvent sa mère. Il tâchait bien souvent de concilier les deux.

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